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 Ikeda Ryuichi

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3 participants
AuteurMessage
Ryuichi Ikeda

Ryuichi Ikeda


Messages : 8
Date d'inscription : 05/11/2009
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MessageSujet: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 20:20

Présentation


Général


-Nom: Ikeda

-Prénom: Ryuichi

-Surnom(facultatif): Ryu, Gamin... Morveux... Bah... N'importe quoi.

-Âge: 21 ans

-Sexe: Masculin

-Sexualité: Homosexuel

-Groupe: Houseki

-Sous-Groupe: Assassin

-Autre(facultatif): Traître...


Santé


-Groupe sanguin: AB-

-Taille: 5 pieds 8

-Poids: 138 livres

-Allergie: Aucune

-Problème de santé: Rien...

-Autres:


Description


-Description physique: Je déteste ce corps et ce sera toujours ainsi. Du coup, je me dois d’être très objectif pour donner une description assez fidèle de ma personne.

Je suis donc un homme assez petit, à peine cinq pieds huit. Je n’ai jamais aimé être petit, c’est chiant, personne ne prend un nain de jardin au sérieux! J’ai une moitié de sang américain et l’autre japonais. C’est peut-être de là que vient ma petite taille. Après tout, les japonais sont reconnus pour leur petite taille. Mes cheveux blonds me viennent de ma mère. Ils sont assez long venant se poser sur mes épaules de manière assez désordonné et une longue frange vient souvent cacher mes yeux. J’ai pas mal tendance à les attacher en queue de cheval pour qu’ils soient moins encombrant, mais je laisse toujours mon toupet sur mes yeux.

Mes yeux sont gris avec des reflets verts par moment. Ils sont très légèrement bridés, cadeau de mon père. Ils sont incroyablement expressifs, de véritables puit vers le coeur de mon être. C’est pour cela que j’ai toujours eu un longue frange pour les cacher et garder un minimum d’intimité. Le plus souvent, surtout en ces temps dur, pour moi, du moins, j’aborde un regard froid ou tout simplement vide et distant. Le tout est souligné de longs cils blonds. Mes sourcils sont plutôt fins et extrêmement expressif comme mes yeux. Le plus souvent, il sont froncés, inlassablement. J’ai un visage ovale et régulier. Mes lèvres son fines, en même temps, un brin boudeuse. Elle sont douces d’après les dires de certains. Elles cachent des dents plutôt droites et blanches. Celles ci ont la mauvaise habitude de mordre, malheureusement pour certain. Après celles ci, il y à donc ma langue. Pourquoi en parler? Simplement parce qu’elle est percé d’une petite bille métallique noire. Ensuite, si nous retournant sur le visage, il y à mon nez droit et fin qui es tout à fait au centre de mon visage.

Ma peau est pâle, en effet, je ne vais guère me promener au soleil depuis un bon moment, préférant la froideur et la solitude de la nuit. Elle est plutôt douce excepté au niveau des poignets où la chair est devenue plutôt irrégulière à force de la scarifier dans mes moments où j’ai besoin de la douleur physique pour m’apaiser. Ma chair est également coloré par les tatouages qui décorent mon corps. Ceux ci parcours mon cou, mes épaules, mon torse et ma colonne vertébrale dans des motifs tribales rouges et noirs. Il y à également des flammes vertes et rouges sur mes poignets. Mes oreilles sont percées de six boucles vertes, chacune répartit sur les lobes. J’ai également un anneau métallique noir sur le gland et oui, ça fait très mal! Mine de rien... Certains me demande si ça à un lien avec mon ténébreux ex... Je les envois valdinguer assez fortement, plutôt exaspéré tout en me demandant tout de même ce qu’il dirait si il apprenait.

Sinon, je suis plutôt musclé malgré ma taille quelque peu réduite. En fait, j’ai perdu du poids depuis ma traîtrise alors je peux sembler quelque peut fragile dans mes vêtements un peu trop grand pour moi. Une chance que ce n’est qu’illusoire! Je suis toujours plutôt fort pour un bonhomme de ma corpulence.

Côté vestimentaire, j’avais toujours été attiré par les couleurs très vives... Tout en appréciant énormément le noir. En fait, j’ai toujours eu un look un peu punk et c’est toujours le cas. Par contre, maintenant, j’ai de moins en moins d’attrait pour les couleurs vives. Du coup, je m’habille plus en noir, bien que je cache parfois un morceau de couleur et je cache bien plus de peau comparé à avant. Du coup, j’ai un haut noir qui se zippe à l’avant avec manches longues et capuche. À l’intérieur d’une de ses poches, je cache mon beretta. En dessous, je met souvent un T-shirt rouge foncé ou simplement noir. J’ai également mon pantalon noir avec ma ceinture noir recouverte de petite plaquettes argents et d’où pend des petits pendentifs rectangulaires en argents rattacher par des chaînes à la ceintures. J’ai également mes claws presque constamment attaché à ma ceinture. Le bas de mes pantalons sont rentré dans mes bottes noires qui vont à la moitié du tibia et qui sont souvent assez mal lacé. Pour finir, j’ai les paumes, les poignets et une partie des avant-bras recouvert de bandage blanc.

C’est donc à ça que ce résume ma personne.


-Description psychologique:Une chose est certaine dans mon cas, je vais finir dans le fin fond des limbes pour souffrir pour l’éternité. Drastique? Peut-être un tout petit peu, mais quand je me regarde dans le miroir, je n’arrive qu’à frissonner de dégoût Je me déteste tout simplement. Et d’une haine féroce, qui plus est!Je ne suis qu’un pitoyable gamin qui ne mérite qu’un profond mépris. Je suis un homme qui a su perdre son honneur et qui a vue sa fierté se réduire en miette. Ma vie, ne se résume qu’à un mélange de mensonges, d’erreurs et de lâcheté. J’ai l’aire sérieusement déprimé? Oui, je suis fatigué et à bout. J’attend simplement de disparaître.

J’ai peur. Oui, jadis si fier et sans peur, m’en voilà réduis à trembler dans mon trou, pris dans cette frayeur de ne pas arriver à supporter le poids sur mes épaules. Je me sens si faible et insignifiant! Incapable de réellement faire bouger quoique ce soit. Juste là à encaisser en serrant les dents, sans broncher. Fermer les yeux devant les humiliations et simplement attendre qu’elle prennent fin. Être un traître, continuellement regardé avec mépris. Je me déteste pour avoir trahis ceux que je considérais comme ma famille. Pour avoir trahis l’homme que j’aime , pour l’avoir jeter comme s’il n’était rien, pour lui avoir dit l’haïr. Je revois sans peine mon départ, je me souviens encore du tourbillon d’émotions qui l’avait prit devant mes gestes et mes paroles. Je m’en veux beaucoup de lui faire du mal. Tellement. Même si c’était pour le bien d’une autre personne, aussi précieuse soit t’elle à mes yeux. Quand je parle mal de lui, quand je l’insulte, lui cris le détester, je ne fais que hurler ce que j’éprouve à mon égard. Quand je tente de le tuer, j’espère secrètement qu’il vienne mettre fin à mes tourments.

J’ai tellement honte de ce que je deviens. Que reste t’il du jeune mafieux à la fidélité aveugle et à la fierté toute pimpante? Il ne reste qu’un être mort. Un pauvre type qui cherche à oublié et à alléger un peu son fardeau. Une sale petite salope, oui, j’ai toujours détester me retrouver sur un quelconque pied d’égalité avec les prostitués, mais voilà que je le dis moi même avec le visage fermé, ma décadence n’à donc pas de fond? Bref, une pute, un drogué, fumeur, totalement dépendant de sa dose de cocaïne, un alcoolique et un masochiste. Je dois bien approcher du fin fond? Non?

Je n’ai certes pas complètement changé. Je suis encore Ikeda Ryuichi après tout. Je suis encore assez énervé, encore inattentif et grande gueule... Un vrai fouteur de merde et une tête de mule qui prend un grand plaisir à se battre et à voir le sang couler. Par contre, je ne suis plus aussi expressif que avant. Je cherche à me cacher aux yeux des autres, à bien enfermer ce qui tourbillonne en moi. Je sais parfaitement que mes yeux sont un ticket direct sur ce qui peut se terrer en moi, pas étonnant que je cache ceux ci derrière ma frange le plus souvent possible. Je déteste toujours autant les Houseki. Pour moi, ils ont toujours été de la vermine et ce sera toujours comme ça. C’est juste que je fais partis de la vermine maintenant... Ironique, n’est-ce pas? Ça ne me permet que de ne plus me détester.

Par contre, je n’arriver plus à compter mes regrets. J’arrive à m’horrifier tout simplement, tout seul et sans la moindre difficulté. Pourtant, je sais que je suis bien loin d’en avoir terminé avec ce cercle vicieux. Tout ce que j’arrive à trouver de bien chez moi, c’est l’amour que je porte pour deux être en ce monde qui m’est désormais plus que hostile. Il y à aussi l’entêtement que je met à protéger une des personnes aimer contre tout mal qui pourrait lui être fait, même si pour cela, je me suis détruis tout bonnement. Et enfin, tout ces regrets que j’éprouve. Certes, j’ai fais beaucoup de mal et je suis loin d’en avoir finis, mais je n’en éprouve aucune fierté, je suis simplement dégoûté de mes actes.

C’est peut-être bien peu, mais je m’y raccrocherai jusqu’à là fin avec un entêtement acharné.

-Histoire: Voir plus bas.


Hors-jeu


-Le nom et le manga, jeux ou autre de votre avatar: Gunji ou Gunzi de Togainu no Chi

-Comment avez vous découvert le forum?: Admin...

-Quel âge avez vous?: Ça ne se demande pas!

-Une idée pour améliorer le forum?: Non!

-Autre:


Dernière édition par Ryuichi Ikeda le Ven 29 Jan - 21:43, édité 1 fois
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Ryuichi Ikeda

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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 20:43

Histoire:

Je suis née le 14 décembre à New york. C’est une grande ville New York. J’aime les grandes villes, elles sont tellement vastes. De plus, c’est là qu’il se passe le plus de chose, je déteste l‘ennuie, donc je suis toujours dans ce genre d’endroit. Je suis née dans cet environnement et je compte bien y rester. Ma mère était une américaine... Jeune, naïve... Et sans la moindre goûte d’autorité. Mon père, lui, était un japonais. C’était un homme très dur qui avait tendance à frapper dès qu’il était en colère. Mine de rien, il dominait totalement ma mère. Devant lui, elle baissait les yeux et le laissait faire tout ce qu’il voulait. Que se soit pour la frapper ou pour n’importe quelle insanité qu’il eu envie de lui faire. Malgré son lot d'horreur quotidienne, elle restait avec lui. C’était un homme riche aussi, très riche, mais, il restait tout de même alcoolique et une grande partie de son salaire allait dans ses loisirs... 

Quand j’étais petit, il ne posait jamais son regard sur moi. C’est ma mère qui s’occupait toute seule de moi. Elle était souvent très fatigué, car je demandais pas mal de soin et d’attention. J’étais très turbulent et passais beaucoup de mon temps à grimper sur les meubles et à vider les armoires à son grand désespoir. Je ne pleurais pas beaucoup malgré les blessures que je me faisait en déboulant l’escalier ou en heurtant le coin de la table. Je me contentais d’une grimace, puis je continuais ce que j’étais en train de faire. Je cachais souvent les objets à ma porter... Comme par exemple... Ma mère qui dénicha un jour un de ses soutiens-gorge dans le réfrigérateur. – Tout petit et déjà pervers… -.-‘ –

----------------

*J’étais assis dans ma chambre, pour une fois, je jouais seul. D’habitude, je jouais avec mama ou à la rigueur, avec mon voisin. Sans trop me lasser pour le moment, je jouais avec mes petites autos Je m’imaginais dans une course effrénée où un homme puissant tout vêtue de noir avec des yeux noirs et des cheveux noires... Bah... Un homme en noir! Un homme puissant et respecté... Moi, j’étais avec lui dans la voiture! J’allais l’aider à se sauver! Je prenais un énorme fusil et je tirais sur nos puissants adversaires, de terribles yakuzas comme dans le films que j’avais écouter!

Nous allions triompher des terribles yakuzas quand j’entendis un cri. Je délaissais alors mon jeu et sortie de ma chambre. Papa devait être revenu. Toute les fois où papa revenait, il faisait crier mama. Je descendis l’escalier, puis regardais dans la chambre de mes parents.

Il y avait du sang sur les draps... Du sang sur mama. Elle était coucher sur le dos, complètement nu. Papa était sur elle, il avait détaché son pantalon et je voyais son sexe. Il était très gros et droit droit! Pas comme moi! Je le vis le mettre en mama d’un coup sec, cela la fit crier. Elle pleurait. Elle avait de la peine que papa lui fasse ça Je ne comprenais pas ce qu’ils faisaient. Ça n’avait pas l’air très bien.

Je croisais alors le regard gris-vert de mama.


- Va... Jouer... Ryuichi...(Mama)

Mon papa leva les yeux vers moi, puis frappa brutalement mama. Il me montra le pied du lit du bout du doigt.

- Vas là et regarde comment ta mère est une salope.(Papa)

Mama pleurait d’avantage. Moi, j’avais peur qu’il me fasse du mal. Je m’approchais donc du lit pour m’asseoir sur le pied du lit et ne pu que regarder. Je ne comprenais pas, mais ça devait être mal. Sinon, mama n’aurait pas pleurer comme ça Papa n’arrêtait pas de traiter mama de salope, de pute, de catin... Je n’aimais pas ça.. C’était des gros mots que mama ne voulait pas que je dise. Après un long moment, il eu un grognement étrange et sortit de mama, lui attrapa les cheveux et la tira pour la mettre à genoux. Il mit son sexe dans la bouche de mama, donna quelques coup de hanche, puis la lâcha et se leva. Papa me regarda, un rictus moqueur sur les lèvres.

- Tu vois comment tu n’es qu’un petit fils de pute? Tu n’es qu’un faible bâtard! Aujourd’hui, tu va consoler ta catin de mère! Sale petite vermine! Dans quelques années, qui te consolera d‘être une petite pute? Sale morveux sans avenir. J’vais te laisser crever... Tu vas gâcher ton existence! T’es trop faible et bête! Je devrais te tuer tout de suite à la place de te nourrir! Sale petit salope en devenir.(Papa)

Il me regardais avec mépris, puis sortait de la pièce. Je ne voulais pas être faible... Mais je voulais aider mama. Je me tournais vers elle. Elle avait cacher son corps avec le drap. Je m’approchais d’elle pour la coller. Elle me serra dans ses bras en pleurant à chaud de larme.

- Ho... Désolé! Désolé Ryuichi! Je suis tellement désolé! Ne me déteste pas! S’il te plais... S’il te plais... Ho Ryu... (Mama)

Je la regardais un moment.

- Je t’aime mama. (Moi)

Elle eu un lourd sanglot et me serra bien fort.

- Moi aussi! Je... Je t’aime tellement mon petit Ryu!(Mama)

Je soupirais doucement en la serrant du mieux que mes petits bras me le permettait. Je détestais papa de faire ça à mama. J’avais peur de lui aussi, qu’il me fasse du mal. J’étais trop petit pour me défendre moi! J’avais hâte d’être grand pour protéger mama.

Oui... J’allais finir par pouvoir la protéger.
*

----------------

Quand j’eu mes cinq petites années d’existence, je fus envoyé dans une école du cartier. Vue les moyens de mon père j’aurais facilement pu avoir accès à une école priver ou un truc dans le genre. Mais bon, il semblait se foutre que son fils unique ai une éducation au dessus de la moyenne... Moi... Ça ne me dérangeait pas vraiment. J’étais très agité. Je n’hésitais pas à frapper mes camarades ou à chercher les plus grands. Ma mère me suppliait carrément d’arrêter. Elle avait peur que mon père l’apprenne. D’ailleurs, il ne tarda pas trop à savoir que son garçon était souvent retiré de l’école pour s’être battu ou d’autres trucs du genre. Lui... Il ne se contenta pas de me dire que c’était mal et que je devais arrêter. Pour une fois il m’accorda son attention, mais pas pour ce que j’a voulu qu’il fasse. Il me ramassa par le col de mon T-shirt et me traîna dans le sous-sol ou il se débarrassa de sa ceinture pour ensuite me frapper avec... J’eu beau tout faire pour qu’il arrête, mais il se contenta de frapper plus fort. Je finis par arrêter de me débattre et il finit par se lasser... Il me laissa tomber par terre et se contenta remettre sa ceinture et sortir de la pièce... Sans rien dire. Moi, je restai un moment sur le sol la respiration sifflante. Je détestais cet homme... Il n’était jamais là et quand il se décidait à être présent c’était pour me frapper. 

À sept ans, ma mère mourut. Un accident, elle fut frapper par un camion alors qu’elle traversait le chemin à pied. C’était pourtant à son tour de traverser, mais le camionneur s’était assoupi quelques secondes et ça avait suffit à ce que le sang de cette femme vienne salir l’asphalte. Je m’en souviens bien... J’étais là. J’aurais très bien pus mourir aussi, mais en gamin turbulent et énervé, j’avais couru pour traverser le chemin. Par la suite, je m’étais retourné pour la regarder arriver et j’ai vu le camion la frapper de plein fouet. J’étais resté figé... La bouche ouverte dans un crie muet. Quand j’ai repris mes moyens, j’ai couru vers elle... Ce qui en restait du moins. Je suis tomber à genoux à ses cotés tremblant. Il y avait du sang partout, je m’étais laisser tomber sur son corps les yeux pleins de larmes. J’étais aussi rouge de sang qu’elle... Son sang... L’ambulance ne tarda pas à arriver, ainsi que la police. Je m’étais débattu... Il voulaient m’éloigner du cadavre. J’ai crié, frappé, mordu... Ils n’ont pas eu trop le choix devant la crise que je leurs piquais et il m’ont mis sous calmants pour un certains temps. La suite des événement fut très flou. J’ai assisté à son enterrement... Mais je ne m’en rappelle pas vraiment... Je sais que mon père... Ne pleura même pas. J’aurais voulu qu’il le fasse. Mais non... Il me jeta quelques coups d’oeil pendant la cérémonie et quand elle fut mit en terre. Puis, il me ramena à la maison. 

Je pensais qu’il aurait de la peine... Mais rendu chez nous, il me frappa à nouveau, J’heurtai un mur, il me traîna sur le sol. Sous l’émotion que m’inspirait la perte de ma mère... Et le mal qu’il me faisait je me remis à pleurer. Il me dit qu’il n’arrêterait pas tant que je n’arrêterais pas de gueuler. Il me répéta que seuls les faibles, les lâches et les impuissants pleuraient. Qu’il ne voulait pas d’un fils faiblard. Que les hommes ne pleuraient pas... Qu’il me tuerait si je n’arrêtais pas... Je m’étouffai à force d’essayer de retenir mes sanglots. Ça me pris du temps, mais je finis par réussir à arrêter de pleurer... Il me lâcha et s'accroupit à mes cotés. Il me lança dur, que je n’avais pas à éprouver quoi que ce soit pour cette femme morte. Qu’elle était partie pour toujours et que je ne pouvais rien y faire. Il me dit des choses carrément atroce sur elle, puis me laissa seul... Encore. Je souhaitais ardemment la mort de cet homme... C’était la dernière fois que je pleurais... À l’école... Mon comportement empira encore...

Mon père ne laissa s’écrouler que quelques semaines avant de ramener une femme à la maison. Je la détestai immédiatement. Je commença tout de suite à faire tout ce que je pouvais pour la faire foutre le camp... Le fait qu’elle clame haut et fort devant tout le monde qu’elle était ma nouvelle maman et qu’elle m’aimait fort. Elle ne me connaissait même pas et je la détestais... Comment pouvais t’elle faire ça? Venir prendre la place de ma mère!? Elle n’avait pas à faire ça! Elle faisait comme si c’était elle qui m’avait mis au monde, cette fille s‘imposait carrément en gérant ma vie comme bon lui entendait... Ça me rendait carrément hystérique. Du coup, je lui criais après toutes les insultes les plus obscènes et vulgaires qui puisse exister. Mon père furieux, me ramassait à coup sur pour me frapper. J’appris rapidement à ne pas exprimer ma douleur devant lui, me contentant de serrer les dents et de regarder droit devant moi. Malgré mes efforts et malheureusement pour moi, ma «nouvelle maman» était têtue comme pas possible et doté d’une patience d’ange, je ne réussis donc pas à la faire foutre le camp. Frustré, je me fis encore plus violent et provocateur pour mon entourage et à l’école.

Quand j’eu mes 10 ans, je passais beaucoup de temps dehors avec des amis. On traînait dans les rues, volait, faisait du vandalisme sur les vieilles bâtisses. Rien de bien recommandable pour un gamin de mon âge, mais bon... On s’en fou! J’avais une vie de merde. Aussi bien la rendre plus intéressante... Et vous savez.. Il n’ à rien de plus excitant que de faire ce qui est interdit... La fébrilité qui vous traverse à l’idée d’être pris sur le fait... Par contre, être pris sur le fait... C’est moins amusant. La police me ramena chez moi... Mon père resta calme devant les deux hommes se contentant de me lancer un regard sévère. Ils partirent après quelques formalité et je regarda mon père qui se tourna avec lenteur vers moi. Je ne bougeai pas, je savais ce qu’il allait faire. Il me ramassa pas le bras et me tira vers le sous-sol. Je me laissai battre encore en me contentant de serrer les dents. Je souhaitais tellement sa mort! Il finit par me lâcher et sortir de la pièce sans un mot. Je me relevai avec lenteur, fixant la porte. Il devait mourir... J’allais le tuer... Oui... J’eus un sourire... Puis un léger rire... Ça ne serait pas bien difficile... Les rôles allait enfin s’échanger! 
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 20:59

C’est le 31 janvier, âgé de 11 ans que je commis mon premier meurtre. J’attendis avec patience que mon père et sa femme aillent se coucher. Je leurs laissa le temps de tomber endormie, puis rentrai dans la chambre à mon tour, munis d’un couteau de cuisine d‘une longueur impressionnante. Je me postai sur le bord du lit les regardant dormir. J’eus un grand sourire des plus psychopathe. Je me rapprochai de mon père... Un futur cadavre. Sans grande cérémonie je plantai mon couteau dans le ventre et l’ouvrit sur près de 30 centimètres. Il émit un bruit... Une sorte de gargouillis qui me fit sourire. Il était mort... Il ne reviendrait plus... Je regardai ma «mère», je n’allais pas la tuer... Je voulais voir sa réaction demain... Quand elle se réveillerait à coté d’un cadavre. Je sortis de la chambre pour aller enterrer le couteau dans le jardin... Puis j’allai me coucher. Le lendemain, un grand hurlement me réveillai et j’éclatai de rire.

La police fut appelé et elle ne tarda pas à rappliquer. Mon air impassible devant la mort de mon père leurs mis la puce à l’oreille, malgré mon effort pour cacher l’arme du crime, ils finirent par retrouver le couteau. Ça ne pris pas beaucoup de temps avec les empruntes digitales pour trouver le coupable... Moi. Ayant seulement 11 ans, je fus considéré comme « irresponsable » de mes actes échappant à une réelle peine... Pourtant, j’eus tout de même quelques difficultés... Ma «mère» refusa que je reste à la maison. Donc je me retrouvai chez un membre de ma famille qui voulut bien de moi... C’est à dire un oncle que je ne connaissait pas et qui vivait à Tokyo au Japon. Donc... Je me retrouvai dans un pays totalement inconnue. Avec un oncle aussi inconnue qui ne parlait même pas la même langue que moi... Ça ne me faisait pas du tout plaisir... J’aurais franchement préféré rester à New York.

Mon oncle, Akahito Ikeda était un type très lunatique, un écrivain plus ou moins connue. Du genre toujours zen qui ne levait jamais le ton. Il semblait se foutre de ce que je faisais du moment que je revenais dormir chez lui et que je lui causais pas trop de problème. Il entreprit également avec patience de m’enseigner le japonais. C’était dur sans bon sang cette foutu langue... À l’école, j’étais relativement calme. Enfin, comparé à avant. Après tout, je ne comprenais pas à moitié ce que les élèves et les profs disaient. Pour eux, j’étais un objet de curiosité... Ils me regardaient sans arrêt et n’arrêtaient pas de parler entre eux en murmurant autour de moi... J’y comprenais rien du tout... Un truc pour faire virer fou n’importe qui. 

Après un certains temps... Je finis par réussir à me démêler avec le japonais. Du coup, je compris que la majorité des filles me trouvais Kawaii(mignon) et que quand le monde riait à la cafétéria c’était parce que j’étais nul pour manger avec des baguettes... Je me fis également de nouveaux amis. J’évitai de leurs dire que j’étais un meurtrier... Je pensais que ça aurait fait de la mauvaise publicité pour moi. Du coup, je me contentai de leurs dire que j’étais ici parce que mes parents étaient tout les deux morts... Pas plus de détails... Habituellement, les gens se contente de vous présentez leurs condoléances et ne vous font pas un questionnaire sur le comment du pourquoi ils sont morts. Finalement... J’aimais bien Tokyo... C’était une grande ville où il y avait pleins de chose à faire un peu comme New York... Mais là, c’était du tout nouveau pour moi.

Quand je fêtai mon treizième anniversaire de naissance, j’étais parfaitement intégré dans mon environnement... J’avais à nouveau des copains avec qui traîner... J’avais fait la découverte bien intéressante de plusieurs substances illicites... En particulier la cocaïne... J’avoue qu’il n’étais pas rare que je fume avec quelques amis après les cours... Redevenue le petit délinquant dans le fond, sauf que là c’était en japonais... J’allais de moins en moins à mes cours... Quel était l’intérêt de toute façon? J’étais complètement pourris pour tout ce qui était scolaire. Et puis j’avais un grand manque de volonté. Je découvris également quelques chose que je ne dis à personne... Mes amis parlaient souvent des filles... Ils mataient des magasines de filles nues, parlaient de leurs nouvelles conquêtes... Moi... J’avais un problème. Je n’avais jamais eu de petite amie... Et je n’en voulais pas parce que les filles ne m’attiraient pas du tout! Moi... C’était les garçons qui m’attiraient... Vous voyez le genre? Je ne pouvais pas leurs dire ça! Ils m’auraient trop regarder bizarre...!

En fait, j’avais un dégoût assez prononcer pour les relations hétéros... Ouais... J’étais une sorte de hétérophobe. C’est sûrement à cause de mama et papa. Mon enfoiré de père violait ma mère, alors j’avais une sorte de dégoût lier à cela. Juste regarder les images de leurs revue suffisait à me foutre la nausée... Décidément, non... Les filles c’était pas pour moi!  

À 14 ans, je fis deux nouvelles connaissances. C’étais deux frères... Des jumeaux. Shimei et Takeji avaient 15 ans, cette minime différence d‘âge était loin de nous embêter. Je m’entendais simplement bien avec eux. Un soir, ils me proposèrent de venir avec eux. J’accepta évidemment... Je n’avais pas envie d’écouter mes amis parler de nanas toute la soirée... Et c’était un sujet que Takeji et Shimei n’abordaient jamais. Nous avons marché un moment avant que les deux frères me regardent pour me demander carrément si j’avais déjà coucher avec un mec. Je passa tout près de me casser la figure sur le sol tellement j’étais surpris par la question. Je secoua la tête après une brève hésitation. Ils eurent alors un sourire plus que pervers et avant que j’aille le temps de faire quoi que se soit, l’un deux m’attrapa les bras pendant que l’autre me frappais assez fort pour que je m’évanouisse. 

----------------

*J‘avais mal à la tête... J‘ouvris lentement les yeux complètement perdu. La pièce était très sombre. Je n‘y voyait pas grand chose. Je remua et remarqua que mes poignets étaient attacher au dessus de ma tête avec se qui ressemblais à une ceinture. J‘étais sur un lit... Je tira sur mes liens, relativement inquiet... C‘étais quoi ce bordel! J‘entendis le bruit de pas qui approchait... En fait... Deux personnes approchaient. Elles entrèrent dans la pièce pour s‘approcher de moi, embarquèrent sur le lit et me regardèrent. Je reconnue sans peine Shimei et Takeji... Ils affichaient des sourires qui ne me disais rien qui aille. 

-Détachez moi, bordel!(Moi)

Ils eurent un léger rire et secouèrent la tête de concert. Shimei s’approcha encore de moi son visage à quelques centimètres du miens. 

- Pourquoi? On ne vas pas te faire mal!(Shimei)

Sur ce il posa ses lèvres sur les miennes et je passa près de l’arrêt cardiaque... Les yeux grands ouverts, je recula la tête m’assommant contre la tête du lit. Les deux garçons éclatèrent de rire. Takeji sortit un couteau de sa poche et commença à découper mon T-Shirt. 

- Fais pas ça! Lâche moi! Fou le camp! Je veux pas!(Moi)

Shimei soupira et m’embrassa encore en mettant sa main derrière ma tête pour m’empêcher de reculer. Takeji termina de m’enlever mon T-shirt qui était réduit à quelques lambeaux. Il lança le couteau dans un coin de la pièce et commença à caresser mon torse. 

- Tu n’aime pas ça? (Shimei) 

- Non!(Moi)

- Pas si sur de ça!(Takeji)

Takeji se pencha pour lécher doucement un de mes mamelons, je serrais les dents et détournais la tête pour que Shimei arrête de m’embrasser. Bordel! C’était quoi leur problème! Bon... Oui... Je ne détestais pas tellement, mais là... Takeji me jeta un coup d’oeil enjôleur et commença à suçoter le mamelon. Je fermais les yeux me crispant. J’entendis un des deux pouffer de rire.

- T’es mignon Ryu quand tu essais de cacher se que tu ressens.(Shimei)

Je ne répondis pas... Avoir répondu... J’aurais gémis et il n’en était pas question. Shimei pris mon visage entre ses mains pour le tourner vers lui. J’entrouvris les yeux un peu et il me licha les lèvres. 

- Tu goûte bon Ryu! Viens goûter, Takeji! (Shimei)

L’interpeller secoua la tête avec un sourire pervers. 

- Nah... Moi je vais aller goûter autre chose, Shimei.(Takeji)

Takeji baissa avec lenteur la fermeture éclair de mes jeans tout en regardant ma réaction. Moi... Je le fixais avec de grands yeux ronds carrément en train de flipper. Il eu un sourire et baissa avec lenteur mes jeans pour ensuite les laisser tomber par terre. Il ne me restais plus qu’un boxer sur le dos. Shimei m’embrassa tout en regardant avec intérêt le boxer. Takeji se décida enfin et m’enleva mon dernier vêtement.

- Rhoooo... Ryu! J’ai eu peur qu’il n’y ai rien en dessous!(Takeji)

- T’à gueule!(Moi)

- Ça t’énerve? (Shimei)

- Oui! (Moi)

- Bientôt ça vas t’exciter, t’inquiète! (Takeji)

Takeji se penche et licha mon membre avec sensualité. Je frémis de la tête aux pieds et tenta de refermer les jambes, mais Shimei m’en empêcha en les attrapant fermement. Il en profita pour m’embrasser glissant sa langue dans ma bouche pour jouer avec la mienne. Je pensa à lui mordre la langue, mais renonça à l’idée... C’est juste que mine de rien... J’aimais se qu’ils faisaient, mais je refusais de l’avouer. 

- Tu n’aime toujours pas? (Shimei)

- Ha... Nah! (Moi)

Les deux garçons s’échangèrent un regard entendue, puis me firent un sourire. 

- Si tu le prend comme ça... (Takeji)

Takeji glissa ses lèvres sur mon pénis et je ferma les yeux toujours crispé. Shimei continuait de m’embrasser et avait commencer à jouer sur mes mamelons les pinçant de temps en temps. Malgré moi, mon corps me trahissait... -traître- Je frémissais de plus en plus souvent et je me retenais à grande peine de gémir. Mon membre... Avait commencer à se durcir entre les lèvres visiblement expérimenté de Takeji. Ma respiration devenait de plus en plus rapide. Takeji pris mon membre en entier dans sa bouche. 

- Haa... Arrête! (Moi) 

- T’aime ça, essaye pas de le nier... (Shimei)

- J’espère... Regarde comme il bande... Mais bon... On le sais qu’il aime! (Takeji)

Les deux jumeaux eurent un rire qui avait tout pour m’énerver. Takeji fessait des mouvement de vas et viens sur mon sexe tout en jouant avec mes testicules avec ses doigts, me procurant des sensations délicieuses... Bien que je refuse de l’admettre. Je me tortilla un peu dans l’espoir de réussir à me libéré les poignets... Mais il m’avait attacher très serré. Après un moment... Je sentis que j’allais...

- Haa... Je... Ha... Venir! (Moi)

Takeji ne s’ôta pas et se retrouva en conséquence avec la bouche pleine de mon liquide. Il avala et leva la tête vers moi... Un léger filet de la substance coulait sur son menton. Il s’approcha pour m’embrasser, puis il passa un doigt sur son menton et me le mis dans ma bouche. Je grimaça un peu et détourna la tête. Tout de même... J’ai pas envie d’avoir de mon propre sperme dans la bouche! 

- Tu continue à nier que tu aime ça? (Takeji)

- Oui! (Moi)

- Bah... C’est Kawai et ça nous donne juste envie de continuer! (Shimei)

- Je veux pas! (Moi)

- Ça ne nous à pas empêché de faire quoi que ce sois que tu le veuille ou pas... (Takeji)

Shimei glissa ses doigts dans ma bouche, je tenta de détourner la tête, mais Takeji la retins. Puis Shimei retira ses doigts et me lança un regard pervers avant de faire les tour de mon intimité. Je le fixais avec appréhension... Ne me dite pas qu’il allait... Oui... Il glissa un doigt en moi. Cette fois, je ne pus pas retenir mon long gémissement douloureux. Les deux frères s’entre regardèrent en souriant.

- Tu fais du progrès Ryu! (Takeji)

Je ne répondis pas, serrant les dents pendant que Shimei rentrais un deuxième doigts en moi. Takeji m’embrassa, jouant avec ma langue. Je frémis et jeta un regard à Shimei qui retirais ses doigts. Il agrippa mes deux jambes pour les relever et frotta son membre contre mon intimité.

- Finalement... Je vais te faire un peu mal Ryu. (Shimei) 

Sur ce il enfonça son pénis dans mon intimité. Je laissa échapper un cri sur le coup, puis entrepris de chercher mon air. Takeji m’embrassa avec passion tout en jouant avec mes mamelons. L’autre commença à faire des vas et viens brusque, loin de me ménager. 

- Tu est... Si étroit... (Shimei)

- Haaa... Shimei! Hu... (Moi)

- Quoi? (Shimei)

- Dit le que tu aime! (Takeji)

- Hum... Je... Mmmh... (Moi)

- Tu? (Takeji)

- Ha... Continue... Haaa... (Moi)

- Bon... T’es un bon garçon quand tu veux toi! (Takeji)

Takeji passa sa main dans ma chevelure blonde et m’embrassa. Après un moment... Shimei vint en moi pendant que je jouissais... Mon corps était bouillant et perlé de sueur. Ma respiration courte se faisait entendre dans la pièce. Il fit sortir son membre de mon intimité et vint m’embrasser avec passion. Puis il détacha mes poignets sans que je ne trouve la force de ramener ceux ci vers le bas. 

- Tu vas rester avec nous... Pas vrai Ryu? (Shimei)

- Hein? (Moi) 

- Bah... On t’expliquera plus tard... Il y à un pauvre garçon dans cette pièce qui est le seul à ne pas avoir pus se vider... Donc je vais aller m’occuper de son cas. (Shimei)

- Oui... J’espère bien... (Takeji)

Les deux garçons se levèrent pour se diriger vers la porte, je tentais de me relever.

- Tu reste dans cette pièce Ryu. (Shimei)

- Nah... (Moi)

- Je barre la porte... (Takeji)

Sur ce Takeji me fit un clin d’oeil et les deux jumeaux sortirent de la pièce en fermant la porte. Je les entendis barrer celle ci. Et m’écrasa sur le lit en fermant les yeux, brûler par la fatigue de cette première fois.*

----------------

Après un certain temps... On vint me chercher dans la petite pièce sombre. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, ni l'endroit où je pouvais être. J’avais profiter du manque de surveillance pour prendre le couteau que Takeji avait oublier dans un coin. Après une série de couloirs, on me laissa devant un jeune homme qui devait avoir 19... 20 ans. Il faisait drôlement froid... Déjà que je n'avais plus mon T-shirt que Takeji avait réduis en lambeaux avec son couteau. Il me regarda légèrement amusé par ma mine peu joyeuse dû à plusieurs petites choses dont vous devez vous douter. Ayame... Parce que c'était son nom, m'expliqua que je me trouvais dans un vieux bâtiment abandonné... Enfin, pas tout à fait puisque que eux étaient là. Il était près d'une trentaine. Tous des jeunes entre 12 et 20 ans qui avaient un fort penchant pour la délinquance. Ayame me demanda pour rester avec eux. Je restai un moment silencieux avant de lui demander pourquoi il voulait de moi. Il me répondit simplement que je n'avais rien de l'adolescent modèle et qu'il savait bien que je n'avais plus parents. Du coup, je lui lançai par la tête qu'il n'avait pas à fouiller dans ma vie privé... Et lui demandai d'où venais ses informations. Du coup, les deux jumeaux arrivèrent et se méritèrent mon regard plus que furieux. Ayant entendu ma question... Ils me répondirent qu'ils avaient fouillé dans les dossiers de l'école et étaient tombé sur mon dossier. Du coup... Il en savait beaucoup à mon goût... Mais bon... Je n'avais pas envie de rester avec mon oncle... Et malgré tout, j'aimais bien l'idée de rester avec du monde de mon âge. J'acceptai tout en feignant un léger désintérêt. Ayame éclata de rire en me disant que j’étais un garçon plus que divertissant... Et il se mérita un regard sombre de ma part. J’allais partir avec les jumeaux qui cherchaient à m’entraîner quand Ayame de demanda de rendre le couteau à Takeji et rajouta que mes petits manèges ne fonctionneraient pas avec lui... Je figeais, ahurie et rendis le couteau au jumeau.  

Par la suite, je passais beaucoup de temps avec Ayame ou avec les jumeaux. Takeji et Shimei semblaient aimer me poser des questions plus que embarrassantes, m’emmerder ou encore m’effleurer à des endroits et de manières à me faire frissonner et serrer les dents. Ayame, lui, m’enseignait plusieurs choses... À ma demande, puisque je le noyais de questions. J’étais très franc avec lui, de toute façon, j’avais découvert qu’il pouvait lire dans les pensées des gens. Mentir en sa présence ne servais donc à rien du tout. Cette étrange faculté m’intriguais beaucoup, je questionnais souvent Ayame sur le sujet. Du coup, j’appris qu’il y avait tout de même pas mal de personnes avec des pouvoirs. J’espérais, mine de rien, être doté de facultés cachées. Aya’ m’appris aussi à me battre, pas que je ne savais pas le faire, mais je n’avais pas vraiment de technique et je savais surtout user de mes poings et de mes pieds. Il me montra le maniement d’armes comme le poignard et des armes à feu même si je n’affectionne pas ces dernières... Tuer une personne en se contentant de presser une gâchette... C’est trop facile. Je découvris les Covert Light Aerial Weapon ( Claw ) et appris à m’en servir. Elle devinrent mes armes de prédilections. Il y avait régulièrement des petits tournois qui servait surtout à mettre en place une hiérarchie dans le groupe... Ceux ci n’étaient jamais à mort... Il suffisait de sonner l’adversaire assez pour qu’il reste 10 secondes au sol... Les armes étaient en bois, bien sur... Ayame était imbattable... C’était tout à fait normal... Moi... Je me débrouillais... Avec le temps je gagnais en expérience et battis de plus en plus d’adversaires. Les gagnants recevaient un pendentifs rectangulaires qui prouvait sa victoire.

J’avais également arrêté l’école, me contentant de la dizaine d’année que j’avais déjà accomplie. Ce n’étais pas beaucoup, mais ça ne me dérangeais pas. Après tout, je n’étais pas doué, j’avais toujours collectionné les notes pitoyable dans à peu près toutes les matières. Le temps passait à une vitesse incroyable avec Ayame et le reste de la gang. Takeji et Shimei semblaient m’aimer un peu trop à mon goût, mais sinon, tout allait relativement bien. J’atteignis rapidement les 16 ans. Je décidai de tatouer un peu mon corps... Une question d’originalité? Peut-être. L’idée de marquer mon corps à jamais me plaisais. Loin de faire le peureux, je fis faire tout les motifs en une seule séance, qui fut assez long. Du coup, les dessins me chauffèrent la peau quelques jours, mais ce n’était rien d’intolérable. De toute façon, la douleur ne me dérangeait pas outre mesure. J’adorais ces dessins... Après tout, j’en étais le créateur. Il se trouve que je n’étais pas mauvais en dessins. 

Ce n’étais pas rare que l’on fasse des paris. C’était.. Divertissant... Habituellement, j’évitais d’en faire avec les jumeaux. Quand je perdais, je me retrouvais automatiquement avec eux dans le lit. Si je gagnais, ils n’avaient plus le droit de me toucher pendant un certains temps. Étrangement, je perdais le plus souvent.. -Ne me demander pas pourquoi...- Toutefois, Takeji et Shimei ne s’embarrassaient pas de paris pour jouer avec moi. Que je sois d’accord ou pas leurs importaient peu. Un jour, il leurs pris le l’envie de percer mes pauvres petites oreilles. À deux, ils eurent vite fait de m’attacher. Bien que l’idée me plaise tout de même, je ne voulais pas que ce soit eux qui le fasse... Imaginer ce qu’ils pourraient faire avec une aiguille! Je n’eu pas le choix, car Takeji sortie une longue aiguille pour percer le lobe de mon oreille pendant que Shimei me montrait un total de 12 boucles d’oreilles vertes en me disant que j’allais les lui repayer. Je les laissai faire en serrant les dents. 12 trous répartit également sur mes pauvres oreilles... Je leurs fit clairement savoir qu’ils auraient pu y aller plus mollo. Ils m’ignorèrent et profitèrent du fait que j’étais attaché pour jouer à une autre sorte de jeu. 

Je découvris bientôt que oui, j’avais quelques facultés qui n’avait rien de la normalité... J’arrivais à faire chauffer la température des choses ou des gens... Parfois à créer de petites flammes... Mais c’était dur! Et puis... Je réalisais que contrairement aux autres... Je sentais les émotions des gens... J’avais toujours cru que c’était parfaitement singulier moi! Du coup, ça me surpris pas mal, mais c’était plaisant de savoir que je pouvais savoir des choses que les autres de savaient pas! Et puis... Je guérissais plus vite que la moyenne... Et était beaucoup plus rarement malade. Je n’aimais pas être malade de toute façon! C’était plate et long de rester pris dans son lit à attendre que ça passe! Et puis... Quand j’étais malade... Les jumeaux en profitaient pour me faire des trucs pas net. Du coup, je faisais encore plus de fièvre!

Les gangs comme celui d’Ayame ne sont jamais bien vue par la police. Après tout, ce genre de gang ne font pas des choses très net. Donc, un soir, la police débarqua pour arrêter les jeunes délinquants. Par un coup de chance, je réussi à échapper au policiers comme quelques autres gamins. Le groupe ayant été écrasé, nous partîmes chacun de notre coté. Du coup, je me retrouva seul, âgé de 17 petites années avec comme seul possession mes vêtements, mes Claws et quelques dollars. Je ne savais plus quoi faire. J’étais habitué de marcher en groupe, pas en solitaire. Du coup, je n’eus autre choix que survivre dans les rues comme je le pouvais. 


Dernière édition par Ryuichi Ikeda le Sam 30 Jan - 2:00, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 21:14

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*Il avait mouillé toute la journée. Du coup, la pluie avait osé ne pas ce calmer pour la nuit. Il ne manquait plus que ça pour mettre un moral à terre... Que les nuages me crache sur la tête. J’étais en rogne comme pas possible, il n’y avait pas d’endroit confortable ou dormir dans ces petites ruelles... Surtout quand tout est détrempé. En plus, mes tripes se tordais douloureusement dans mon ventre, preuve de ma faim. Je traînais dans les petites ruelles depuis un bon moment. Il n’y avait personne... La pluie chassait la plupart des gens dans leurs chez eux. Moi, je n’avais rein d’autre à faire que traîner pour ne pas geler dans mon coin. Après un moment, je remarqua un type, je l’observa un moment de loin. D’une grandeur moyenne, cheveux noirs et rebelle, une veste tout aussi noire... J’arrêtai de le décrire... Ce n’étais pas ça qui m’importais. J’effleurai mes Claws des doigts, je les laissaient presque continuellement attaché à mes mains. Je suivis un moment ma proie, puis m’approcha progressivement pour être derrière lui. Sans crier garde, j’attaquai essayant de lui arracher la gorge, mais la proie sans même se retourner sortit ce qui ressemblait à la lame d’un Katana, bloquant ma claw. Je resta abasourdi devant la vitesse de ma proie, mais me repris rapidement pour attaquer au niveau de son estomac, il para avec la même agilité et sans avoir l’air d’avoir la moindre misère, ses gestes semblaient même remplie d‘ennuie. Je pris quelques mètres de recul pour juger à nouvea ma proie... Nah... Ce n’était plus une proie. C’était un adversaire... Un adversaire de toute évidence redoutable. Sans laisser trop de temps à l’autre, je relançai une autre attaque qu’il évita avec une facilité déconcertante, je sentis alors son poing rentrer dans mon estomac avec une force loin d’être négligeable. Le souffle coupé et le regard embrouillé par la douleur, je sentis mon dos heurter le mur derrière moi. Je m’affalai sur le sol et crachai le sang qui emplissait ma bouche tout en toussant. J’aurais certainement rendu mon dernier repas si celui ci n’était pas aussi lointains, vue le haut le coeur qui me pris. Finalement la proie était un prédateur. Je relevai un regard vers l’autre, mais ma vision se troubla pour devenir complètement noir. 

[...]

Quelque chose clochait, ça faisait des jours que je n’avais pas vue un banal lit et en ce moment... Je sentais des draps chauds contre ma peau. Je remuai un peu sur le matelas, cherchant dans mes souvenirs se que je faisait là. Une légère douleur au ventre me rappela brusquement ma cuisante défaite, gracieuseté du type avec les cheveux noirs. Ouvrant des yeux perdu, je me relevai sur mes coudes inquiet. Il ne m’avait pas achevé? Pourquoi? Je l’avais attaqué après tout! Avoir été à sa place... J’aurais à coup sur tué le gêneur...

Je me relevai dans le lit pour regarder ou je suis. Relativement grande, ma ’chambre’ était décoré avec un goût qui me laissais indifférent, car j’en étais dépourvue... (De goût XD) Je jetai un regard vers la fenêtre, il faisait encore noir et la pluie à arrêté. Je me levais pour constater que je n’avais plus le moindre vêtement sur le dos. Cherchant quelque chose pour au moins cacher ce qui était en dessous de la ceinture, je repérais mes vêtements sur une chaise. Je les enfilais pour constater qu’ils avaient été lavé. Par la suite, je tentai d’ouvrir la porte, mais celle ci est verrouillé de l’extérieur. J’opte donc pour la fenêtre, mais après mure réflexion, je décidai qu’il y à trop d’étage entre moi et le sol. Je du donc me résoudre à attendre... C’est à dire à tourner en rond comme un fauve en cage...

Il était près de midi quand deux types ouvrirent la porte pour me faire sortir. Je cacha mon intérêt, mon inquiétude et mon soulagement derrière un masque froid d’indifférence je m‘approchai d‘eux. M’encadrant, ils me conseillèrent d’être un bon garçon si je ne voulais pas une correction de leurs crus. Je me retins de justesse de ne pas les envoyer promener en leurs foutant mon poings dans la gueule... C’étais très tentant, mais je n’étais pas stupide au point de ne pas envisager les représailles qui suivraient mon geste. Du coup, je ne répondis pas et suivis les deux types qui affichaient des sourires supérieurs. Moi, je bouillais intérieurement et serais les poings jusqu’à ce que mes ongles fendent mes paumes. La douleur qui en résultait me calmai un moment et je pris un léger sourire en coin. 

Je ne prenais même pas le temps de regarder le trajet que l’on prenais. De toute façon, je ne l’aurais pas retenue. Les deux types m’arrêtèrent devant une porte, l’un d’eux frappa deux coups brefs. Une voix nous invita à rentrer et le type ouvra la porte pendant que l’autre me poussais dans le dos pour que je rentre. J’obtempérai et ils fermèrent la porte derrière moi. Ils ne rentrèrent pas... Tant mieux... Je ne pouvais pas les sentir avec leurs petits airs supérieur. Une silhouette assise derrière un grand bureau attire mon attention. Le type au cheveux noir! Automatiquement, je me crispais, sur mes gardes. Ce mec était peut-être bien décidé de finir ce qu’il avait commencé dans la ruelle. Après tout, je n’avais pas d’armes et même à ça le fait que j’en avais eu dans la ruelle ne m’avais pas servis à grand chose. Son air impassible avait comme résultat de me rendre nerveux. Comme je restais planté devant la porte, il m’indiqua un fauteuil du menton. Après un hésitation, je me dirigeai vers le fauteuil et m’assis sans arrêter de le regarder. Ce n’étais pas mon genre d’être nerveux devant un autre mec... Mais c’étais la première fois que je me retrouvais devant une personne aussi forte. Ça me dépassais largement. Du coup, je me sentais bien trop vulnérable à mon goût. Nous nous lorgnèrent un moment avant que mon manque de concentration ne me décide à regarder un peu autour. L’autre soupira et me laissa faire un moment avant d’élever la voix.
 

- Heureux de ne pas être mort? (Type trop fort aux cheveux noirs...)

Je retournai immédiatement la tête vers lui, conscient de son ton moqueur et ironique. Je serai les dents, décidé à ne pas m’énerver pour une fois et secouai la tête. 

- Je suis supposer survivre à cette rencontre? (Moi)

- Qu’est-ce que tu en pense? (Type trop fort aux cheveux noirs)

- J‘en ai rien à foutre! (Moi)

Décidément, j’étais trop facile à mettre en colère. J’étais déjà en train de m’énerver malgré mes première bonnes résolutions. Je jetai un coup d’oeil à mes paumes en sang... Je les avais un peu amoché... On pouvait clairement voir chacun de mes ongles qui avaient fendu la chair. Le sang s’en écoulaient en traîné rouge. Je menai ma main à ma bouche pour recueillir une partie de la substance avec ma langue, histoire de calmer un peu ma frustration en m’occupant un peu. L’autre eu un soupir et je levai mon regard vers lui pour remarque un air légèrement amusé... Mais très légèrement... Et il semblait tellement supérieur!

- Je suis Ogawa Noah, Parrain de la famille Namori... Tu est, gamin? ( Noah )

Je le regardai un moment muet... Il pouvait bien être fort ce type... Un parrain de la mafia... J’eus un léger sourire... Je n’avais pas à être trop embarrassé par ma défaite lancinante. C’était quelque peu normal devant un type si fort.

- Ikeda Ryuichi... ( Moi ) 

- D’accord... Tu vas travailler pour moi, gamin. ( Noah )

Je figeai, pris au dépourvu. Il voulait que moi, je travail pour lui?

- Tssss... Pourquoi? ( Moi )

- Ha... Mais parce que tu faisais... Pitier par terre dans la ruelle... Une pauvre petite chose faiblarde. ( Noah )
 
Je me tendis, furieux devant sa réponse. Je me levai brusquement et Noah me regarda avec un léger sourire en coin, sérieux, mais en même temps tellement moqueur. Il semblait tellement se foutre de ce qu’il pouvait se passer. Et c’était pathétique de ma pars... Je n’avais aucune chance de lui faire quoi que ce soit et je le savais parfaitement en plus. Je restais un moment immobile et furieux, sans savoir exactement quoi faire. Si j’étais plus que stupide, je l’attaquais... Si j’étais un minimum raisonnable, je me rassoyais et me calmais un peu... Après un moment, je me laissais retomber sur le fauteuil furieux, mais assez lucide pour savoir que j’allais littéralement me faire écrasé si j’essayais quoi que ce soit. Je soupirai longuement avant de le regarder brièvement pour répondre froidement. 

- Et si je veux pas? ( Moi ) 

- Qu’est-ce que tu en pense? ( Noah ) 

Je le regardais, surpris. Mon regard se porta sur son Katana qu’il avait à porté de main, puis sur son visage sérieux avec ce foutu sourire en coin. J’étais sûr qu’il avait parfaitement suivit le cheminement de mes pensées juste à la lueur de son regard... Je changeai de tactique.

- Et si je veux? ( Moi ) 

- Je t’apprend à te battre comme du monde, gamin... ( Noah )

Je serrai les dents... Puis eu un sourire légèrement crispé. Ce type était pas possible!

- Ça t’arrive de ne pas être une sorte de glaçon qui s’amuse avec le monde? ( Moi )

- Peut-être que oui... ( Noah )

Amusé par la réponse, j’éclatai de rire. L’autre resta sérieux. Il arrivait à me faire rager d’une seule paroles, puis à me faire marrer à la seconde. Et puis, comme ce que je pensais si je refusais de travailler pour lui ne me plaisais pas vraiment...

- Bon... Ok... Je travaille pour toi, Noah... ( Moi )

- Ça sera Noah-Sama pour toi et tu n’avais pas le choix, gamin... ( Noah )

Je me raidis légèrement avant de réponde avec un demi sourire. 

- Tu arrive toujours à tes fins toi? ( Moi )

- Ne pose pas de question dont tu connais déjà la réponse, gamin. ( Noah )

- Tssss...( Moi )* 

----------------

Par la suite, je me mis à suivre Noah un peu partout où il allait. Un vrai pot de colle! Bon, je finissais par le lâcher quand je percevais de légers signes d’énervement. Effectivement, j’appris rapidement que mon glaçon de patron ne montrait guère ses émotions, alors quand on pouvait légèrement les percevoir c’est qu’elles étaient très fortes. Je prenais pourtant un malin plaisir à guetter chacun de ses gestes et même à l’embêter un peu. Biensur, il m’entraîna aussi... Il me l’avais dit après tout. Il faut dire qu’il était un professeur assez dur et il me balançais tout mes travers dans la figure toujours aussi glacial et légèrement moqueur. Du coup, je cherchais vivement à m’améliorer pour qu’il arrête de me traiter comme un môme sans défense. Mine de rien, j’estimais vraiment Noah... Que ce soit parce qu’il était extrêmement fort, qu’il soit celui qui m’avais sortie de la misère ou simplement parce que j’aimais bien sa présence même s’il n’était qu’un glaçon moqueur qui avait le tour de me faire poigner les nerfs d’une parole, pour me calmer de la parole suivante... En fait, je n’aurais pas su réellement dire pourquoi j’aimais bien sa présence. 

Vue mon coté plus que têtu et les exigences de mon professeur personnel, il était normal que je devienne rapidement un combattant digne de ce nom. C’est sur que l’élève n’égalait pas le maître et si jamais il y arriverait, ce serait des plus étonnant. Après tout, Noah était complètement hors norme et je n’avais pas mis longtemps à le comprendre. Puisque je le suivais tout le temps, je finis par devenir son garde du corps même si Noah était plus fort que moi. Ce qui importait c’était d’empêcher les dangers de s’approcher trop proche du parrain, même si celui ci pourrait sûrement s’en débarrasser plus efficacement que moi. Il semblait tout de même que je fasse l’affaire de mon patron, puisqu’il me gardait avec lui. Si ça n’avait pas été le cas il m’aurait enlevé du paysage ou m’aurais relégué dans une fonction quelconque sans trop de but... Mais ce n’était pas le cas, donc j’étais sauf. Je vouais une très grande loyauté envers lui. Même si je ne faisais pas l’étalage de ce qui me trottait dans la tête, je lui devais gros pour m’avoir ramené avec lui et fait rentrer dans sa famille. J’avais été un gamin sans le moindre avenir qui aurait sûrement fini mort dans un coin ou encore obligé de mendier ou de me vendre pour avoir de l’argent... Là, je vivais avec une certaine facilité, je servais à quelque chose et c’était un endroit assez riche en divertissement. 

Les familles de la mafia ont beaux être très unies, elles ne sont jamais à l’abris d’une mutinerie... d’un renversement du Parrain. Et c’est malheureusement ce qui arriva dans la famille Namori. Noah fut renversé de la tête de sa famille par son cousin qui sans la moindre scrupule, trouva le moyen de monter le restant, ou du moins la majorité des Namori contre Noah qui fut relégué à un piètre rang. Je ne pus pas y faire grande chose même si j’aurais fortement eu envie d’aller arracher le visage de ce type qui avait oser faire ça. Je suivis celui que je considérais toujours comme le véritable parrain de la famille. Rien ne m’aurais plus dégoûter que de fréquenter fréquemment le cousin de Noah. Le nouveau Parrain des Namori était prudent. Il relégua Noah à des travaux de moindres envergure, histoire de ne pas lui laisser assez de pouvoir pour qu'il puisse remettre en question son poste. Je suivis Noah comme je l'avais toujours fait. Pas question que je sois le garde du corps de ce traître! J'étais fidèle aux Namori, certes, mais avant tout, j'étais fidèle à Noah. 

Aussi étonnant que ça puisse le paraître, ma relation avec l'ex dirigeant des Namori prit un tournant... Un peu surprenant. En effet, dire que je n'avais pas un petit béguin pour Ogawa Noah aurait été mentir... Mais que lui, ai un faible pour le gamin énervé que j'étais... ça avait quelque chose d'assez surprenant. Du coup, je me retrouvai a vivre carrément avec lui... Nos emplois du temps étant moins chargé, on pouvaient en profiter pour nous découvrir plus que lors de notre quotidien de employeur employer ou encore lors de banal partie de baise qu'il y avait déjà eu entre nous. Ça ne tarda pas vraiment a être clair et net... Nous étions amant.

Un couple... Oui... Mais un couple assez... Énergique! En effet, avec deux têtes fortes comme les nôtres, il était normal que ça brasse de temps en temps... Ou même très souvent dans notre cas. Noah était un grand possessif assez glaçon... Et moi un gamin capricieux et... He... Trop... Expressif? C'était mine de rien un cocktail des plus explosifs. Malgré nos engueulades, on étaient donc assez solide comme couple. Ça le prouvait bien puisque les années passèrent et on étaient toujours ensembles. Pourtant, les choses allaient changer et en mal.

Un soir comme bien d'autre, je sortis dans un petit bar sympa du coin. Noah ne m'accompagnait que bien rarement, il était... Moins sociable que moi disons... Bref, ce soir là, je pris une "cuite d'enfer". À en oublier son propre prénom. Reste que je rencontrai une jeune femme de mon âge. Elle s'appelait Emiko, une adorable petite rouquine au regard pétillant de malice. On ne tarda guère à boire une verre ensemble et c'est bien plus tard dans la nuit que je me retrouvai dans son appartement. Bon, moi... Je n'étais pas vraiment intéressé par les femmes, mais... Je pris mon pied comme elle prit le sien. Ne me demandez pas comment j'y arrivai alors que j'étais homosexuel... Je n'en sais rien. En tout cas, je retournai chez Noah. Bon, j'étais mal à l'aise... Remplis de remord... Mais je ne comptais pas le lui dire! Il ne souffrirait pas de ce qu'il ne savait pas.

Je laissais donc couler. Mais 10 mois plus tard, je fus contacter par Emiko. Ça me surpris, mais j'acceptais d'aller la rencontrer chez elle.
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 21:22

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*Quand j'arrivais chez la rouquine, je fus totalement pris au dépourvu. Il y avait Kuan Ti en personne! Emiko se tenait à ses côtés, la mine basse. Je reculais légèrement et sentis une présence derrière moi. Le métal froid d'une arme a feu se fit sentir contre ma nuque. Je serrais les dents et sous une pression contre ma nuque, je consentis à avancer lentement.

S'en suivit une longue discussion... Kuan s'amusait à tourner autour du pot, me laissant me torturer l'esprit. Puis un bruit inattendu me fit sursauter. Emiko alla chercher un paquet de couverte blanche qu'elle serra doucement contre elle. Je fronçais les sourcils, perdu. Kuan prit le paquet de tissus avec un sourire étrange et ne fit signe d'approcher. J'hésitais, puis lentement obtempérais et m'approchais, méfiant. Je regardai le petit visage calme du poupon... Et me mordais les lèvres, brusquement nerveux. Il me passa le bébé que je pris maladroitement. Je n’avais jamais pris de bébé! Le nourrisson ouvrit ses petites yeux et je me heurtais à une reproduction miniature des mes propres yeux! Je figeais, sous le choc. Ho non... Ne me dites pas... Je regardais Emiko... La questionnant du regard. Elle hocha de la tête. Je serrais les dents, puis regardais le bébé. C’était tout petit.... Avec de grands yeux gris-vert et des petits cheveux roux. Je restais un moment à regarder le bébé, puis regardais Kuan...


- Je te présente Ikeda Hiyoko. (Kuan)

Je soupirais doucement et regardais à nouveau la toute petite fille... Ma fille. Puis je m’installais sur le sofa avec le bébé sur mes genoux. J’étais tendu, Kuan Ti ne se serait pas déplacé lui même pour m’annoncer que mon incartade d’un soir aurait du être protégé! Ou au moins ne pas avoir été faite avec une Houseki. Mais bon, je ne le savais pas moi à ce moment... Il ne tarda pas à me donner un dilemme des plus déchirant... Décidément, je le détestais.

J’avais le choix de trahir les Namori pour rejoindre les Houseki et me plier à l’autorité de Kuan. Je devais également quitter Noah. Si je ne faisais pas cela, Hiyoko mourrait à peine âgé de deux mois... En fait, ce n’était pas tellement un dilemme comme une menace!

Je fermais les yeux un long moment... Puis regardais le bébé tout aussi longuement. Je venais à peine de découvrir son existence et l’idée qu’elle disparaisse à tout jamais... M’horrifiais. C’était... Étrange. Je voulais la protéger au péril de ma propre vie... C’était comme vitale. Rien n’importait plus. En même temps, je souffrais. Noah.... Je ne voulais pas le trahir! Le quitter! Lui faire du mal! Je ne voulais pas plus trahir les Namori! Je considérais ma famille mafieuse un peu comme ma vrai famille! En même temps... Là... J’avais réellement une famille avec ce bébé... Je ne voulais pas être un mauvais père comme le mien l’avait été. Je l’aimais sans la connaître réellement. J’eus un long moment de torture mental, puis redonnais la petite à Emiko, je me levais, puis me dirigeais vers la porte. Je mis la main sur la poignet... Puis stoppais...


- Tu veux me revoir quand?(Moi)

- Tu à la semaine.(Kuan)

J’hochais de la tête et m’en allais, l’esprit troubler et souffrant.*

----------------

Dans la semaine, j’eus une violente dispute avec Noah. Je ne pouvais pas lui reprocher de ne pas me comprendre, car bien entendu, je ne parlais de la petite Hiyoko à personne... Je ne signalais pas que j’allais rejoindre les Houseki... Tout ce que Noah se fit dire, c’est que je ne l’aimais plus... Que pire, je le détestais.. En fait, la majorité de mes paroles contre lui était en réalité, adressé à ma propre personne. Je me détestais de lui faire ça.. De tout détruire... Pourtant, je tenais à ma décision. Dans cette dispute, je cherchais à me faire haïr de lui... Si il me détestait, peut-être que ce serais moins dur? Moi qui sentais la moindre de ses émotions, il était des plus durs de lui faire toujours plus mal... Mais je le devais... J’inventais des histoires, débitant mensonges sur mensonges... Puis finis par m’en aller... Le corps douloureux de par ses coups et l’esprit en miette... J’espérais tout de même... Qu’il me pardonne un jour... Que une fois... Même si c’était les derniers moments de ma vie, que je puisse le lui expliquer et m’excuser de tout ça.

En attendant, je devais vivre avec ça... Tout simplement.

Par la suite, je faisais ce que Kuan me demandais... J’étais devenu un assassin. À coté de ça, je voyais souvent Emiko et Hiyoko. Mine de rien, on devint rapidement très proches, Emi’ et moi, sans qu’il y ai plus que de l‘amitié entre nous. Pour le reste, mon existence était devenue, globalement, assez compliqué et des plus déplaisantes. Après tout, j’étais pris avec la pire vermine qui puisse exister! Des Houseki! Ce n’est pas parce que j’étais avec les Houseki qu’ils se comportaient «bien» avec moi! Loin de là! Les traîtres n’étaient généralement pas vraiment apprécié par qui que ce soit. De plus, j’avais eu pas mal de démêlés avec plusieurs Houseki qui étaient bien loin de m’aimer. Mais bon, puisque la décision venait de Kuan, personne ne cherchait a me faire trop de tord. Bien que les ragots allaient bon train... Qu’est-ce que j’avais bien pu faire a Kuan pour qu’il m’accepte chez les Houseki? En tout cas, les explications étaient des plus diverses chez ces chers Houseki. Les seules Houseki avec qui je nouais réellement des liens, c’était Emiko, bien sur, et Kyo, un petit nymphomane assez énergique avec qui je passais des nuits assez occupées. Ouais, mon petit amant, mais ce n’était qu’une histoire de sexe, sinon, on étaient partenaires en mission.

Je retombais également dans une très mauvaise habitude dont je m’étais débarrassé plus jeune. Il me fallait ma dose de cocaïne à tout les jours, ou j’étais carrément insupportable. Je la fumais le plus souvent, tranquille dans mon coin. Ça m’apaisais pour un moment l’esprit. Je savais parfaitement que c’était totalement pitoyable de ma part, mais je n’en avais plus rien à foutre. Je pense que j’avais perdu beaucoup de ma fierté. Après tout, je n’était qu’un salaud, un traître, un lâche, menteur, faible et pathétique. De la vermine en gros... Ça commençais beaucoup à ressembler à ce que mon enfoiré de père avait prédit pour moi. Je le maudissais pendant qu’il brûlait en enfer.

Mes baisses d’humeur fréquente firent ressortir mon coté masochiste. Ce n’étais pas du tout rare que je me scarifie les poignets. C’était pratique, j’avais déjà l’habitude de bander mes poignets, Ça ne faisait donc pas trop suspect, même si ça ne m’aurais pas déranger que le monde entier sache qu’Ikeda Ryuichi était un masochiste en puissance.

Je commençais également à fumer. Ouais... Je prenais plein de mauvaises habitudes... Je cherchais surtout à me changer les idées quel que soit les moyens. Il n’était pas rare que je passe des nuits entières complètement ivre, geler... Bref, complètement défoncé. Non, je n’étais pas sage pour le moins du monde. Parfois, je me retrouvais dans de drôle de situations au réveil. Comme me retrouver avec un Houseki que je détestais dans un lit, endormie sur un banc.... Une bonne fois, je me réveillai avec la langue percé. Bon vue que je n’avais rien contre ce piercing, je le laissais là... Et du me nourrir de truc hyper moue toute la semaine... Mais bon, on à rien sans rien...

Mon temps passé avec Hiyoko était sûrement les seules moments où je me sentais bien sans avoir pris quoi que ce soit. Quand je voyais sa petit frimousse, tout mes doutes disparaissaient. J’étais plus sure de moi et j’acceptais mieux tout ce qui se passait. Je l’aimais ma poussinette! Ouais... J’étais un papa gaga de sa petite fille. Je pouvais passer des heures à la câliner et la bercer, lui parlant de tout ce qui me tombais sur le coeur. Bon, elle ne comprenait rien à rien, se contentant de me fixer de ses beaux grands yeux... Mais je ne voulais pas qu’elle comprenne de toute façon! Emiko venait donc souvent me la mener chez moi, ou j’allais chez elle. Pendant ce temps, elle pouvait sortir et vaguer à des activités où un enfant n’aurait pas eu sa place.

Les mois passaient donc tranquillement... Jusqu’à ma mort.


Dernière édition par Ryuichi Ikeda le Sam 30 Jan - 2:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeVen 29 Jan - 21:33

Oui... Je suis mort le jour de l'anniversaire de naissance de Noah, près de trois mois après l'avoir quitté. C'est franchement ironique... non? De plus, c'est étonnant que je puisse vous parler encore! Comment est-ce possible? La réponse est pourtant simple, mais compliqué en même temps.

----------------

* Il faisait noir, seul la lumière des lampadaires permettait d'y voir quoi que ce soit. J'étais seul en territoire Namori, en territoire ennemie. Je détestais cette idée, mais c'était une vérité. J'étais un traître. J'avais été balancer des tonnes d'informations sur Namori à Kuan sans hésiter pour protéger un bébé que j'avais a peine pris dans mes bras une fois. La vie était franchement compliqué! Je soupirais longuement en m'allumant une cigarette, j'en pris une bonne bouffée, puis continuait mon chemin, clope au bec.

Ce fut mon instinct... Un pur réflexe qui me fit éviter la première attaque. J’eus un sourire en regardant le Namori équipé d’un katana. Rapidement, j’enfilais mes claws qui étaient toujours accroché à ma ceinture. Je lui lançai un regard de défi Bien que les Houseki et les Namori soient allier, moi, je restais un traître à faire payer sa traîtrise J’étais donc un cible pour tout les Namori.

Je laissa le Namori m’attaquer en premier. Il n’était pas particulièrement fort celui là. Je le bloquais aisément. Après un moment à contrer, le l’attaquais brutalement. Je ne comptais pas faire durer cet affrontement. J’avais mieux à faire que jouer avec ce type. D’un brusque mouvement, je réussis à me retrouver derrière lui et mon bras s’éleva pour porter un coup mortel.

Une douleur des plus cuisantes se fit sentir entre mes cotes et j’eus un léger râle étouffé, figeant avec un grimace de souffrance. Mon regard gris et flou se posa sur la lame qui sortait de ma poitrine, celle ci était maculé de sang. Mon sang. Le Namori que j’allais tuer se tassa prestement. Mon esprit eu un moment de flottement avant de comprendre qu’ils étaient deux.

La lame se retira d’un mouvement sec et mes genoux cédèrent. Mon corps heurta le sol, ma joue reposant à même le sol sale et froid. J’avais froid. J’avais mal, plus mal que jamais. Je sentais le sang dans mon poumon. Le sang dans ma bouche... Le froid était terrifiant, glaçant. Pour une rare fois, j’avais peur. J’avais peur de mourir. De laisser Hiyoko sans protection. Je regrettais de ne pas avoir revue Noah. De ne pas lui avoir dit comment j’étais un salaud et comment je l’aimais.

Je fermais les yeux, il n’y avait plus rien à faire... De plus, ils étaient si lourd! Je sentis alors une présence toute proche, différente des deux Namori Ça semblait mal fessant inquiétant. J’entendis un chuchotement à mon oreille.


- Ikeda Ryuichi... N’est t’il pas un peu tôt pour quitter ce monde? (Démon)

- O...oui..., soufflai-je avec difficulté.(Moi)

- Et si tu passais un pacte avec moi? (Démon)

Difficilement, j’ouvrais les yeux pour le regarder. J’avais de la misère à me concentrer. L’autre eu un sourire.

- Tu restera ici pendant... Hum... Vingt ans. Tu à une petite chose à protéger, pas vrai? (Démon)

J’hochais très lentement la tête, j’avais tellement de difficulté à ne pas refermer les yeux! J’étais près à tout pour avoir plus de temps par contre!

- Bien Ikeda Ryuichi! Tu resteras vingt ans en ce monde! La seule manière d’arracher ton âme à ce corps sera de le couper en deux... Ou de le broyer... Par contre, dans vingt ans, jours pour jours, tu quitteras ce corps pour me rejoindre et tu passera l’éternité avec moi. Ton âme est le prix de ton temps. (Démon)

J’eus un moment de silence et crachai du sang. Lentement, j’hochais à nouveau de la tête, incapable de parler. Vingt ans de plus, c’était mieux que rien. Le démon eu un sourire satisfait et passa son doigt sur les lèvres de la plaie béante, m’arrachant un hoquet de douleur.

- Parfait! C’est un pacte. Tu ne vas pas tarder à mourir, je vais veiller à te garder ici et à donner l’illusion que tu vis toujours. Vieille à bien te reposer après, tu ne disparais pas, mais tu peux toujours souffrir et être faible. Il te faudra bien guérir aussi... N’oublis pas... Le temps qu’il te reste est déjà en train de filer. (Démon)

Ma vision commençait à s’obscurcir. Je sentais mon coeur ralentir, peiner à battre... Sans pour autant sombrer dans l’inconscience. J’avais de la difficulté à respirer. J’étais perdu. Je venais réellement de faire un pacte avec un démon? J’avais froid. Mon coeur peinait de plus en plus. Je devais avoir une hémorragie interne... La lame avait sûrement casser des côtes vue la brutalité qu’elle avait mit à me transpercer... Le poumon devait être toucher... Je sentais le sang dans ma gorge... Dans ma bouche. Combien de temps s’était écoulé depuis que j‘avais été mortellement touché? Ça me paraissait des heures, mais ça devait plus ressembler à quelques minutes... Peut-être même des secondes. L’aire n’arrivait presque plus à passer dans mes poumons... Je suffoquais. J’entendais ma respiration... Plutôt des râles... Mon coeur semblait à peine battre... Une sorte de palpitation. Ma vision devint opaque et les bruits disparurent. Tout sembla s’effacer comme si rien n’avait jamais existé. Je me sentais mieux... Comme un flottement étrange... En même temps... J’étais un peu effrayé... Mais apaisé, mine de rien.

J’ouvris les yeux avec un sursaut. J’eus un moment d’incompréhension, puis me redressai avant d’avoir un gémissement de douleur. Je baissais les yeux sur ma poitrine et remarquais bien vite le sang. Je touchais du bout des doigts la blessure et frissonnais. Mon regard tomba sur les deux Namori.. Ce qu’il en restait du moins. J’appuyais sur ma blessure et grimaçais, puis me levais difficilement Je tenais à peine debout. Lentement, je m’éloignais en grimaçant de douleur.*


----------------

Oui... J’étais mort, tout en restant en ce monde. Mais je ne l’avouais à personne, ça c’était un secret. Je veillais à ne laisser personne le découvrir. Pendant ce temps, les jours passaient, passaient très lentement. Je continuais à obéir à Kuan. Dégoûté, j’étais complètement dégoûté par moi même. À jouer les chiens de poche avec ce type. Je le détestais, mais je n’avais pas le choix. La vie d’Hiyoko était en jeu. Et je la considérais comme infiniment plus important que mon bien être personnel. C’était finis d’être le gamin égoïste. Je tenais beaucoup trop à ce bébé pour laisser qui que ce soit lui faire du mal. Cette toute petite rouquine avec ces yeux si semblables aux miens était le centre de ma vie tout bonnement. Je l’adorais ma petite fille! Je comptais bien faire de mon mieux pour être le meilleur père pour elle.

Les mois passait donc bien lentement. Je n’avais pas vue Noah depuis près de un an... Depuis que je l’avais quitter. C’était loin d’être une mauvaise chose dans le fond. Je m’ennuyais à mourir de mon ancien amant, mais pourquoi le revoir? Ça ne ferais que du mal... À lui et à moi... Et il était certain que nous ne nous sauterions pas dans la bras si nous venions à nous revoir. C’était finis. J’avais choisis Hiyoko et non Noah. C’était comme ça tout simplement. Je faisais avec les conséquences de mes actes.

J’espère simplement que tout ça ne serait pas vain...
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeSam 30 Jan - 2:23

Validé !

Très belle fiche !!! Histoire géniale !!!
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeSam 30 Jan - 2:28

Merci Hayaki-Kohai XD

*Se sauve avant de se faire tuer*
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeLun 1 Fév - 6:01

Et il débarque, que la joie commence!
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeSam 6 Fév - 6:15

Yeah! I'm a best XD
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitimeLun 8 Fév - 5:37

Nope...
Papa noel iz da bast!
Il fait tout plein de maison en une nuit, essaye de battre ça!
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MessageSujet: Re: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi Icon_minitime

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