Haruka/Kyo/Kamen

Général


-Rang(Phrase courte au dessus de l'avatar)(facultatif):

-Nom:Naoe

-Prénom: Haruka, son vrai nom. Kyo, son nom inventé pour sa nouvelle vie.

-Surnom(facultatif): À vous de vous gâtez ^^

-Âge: 24 ans

-Sexe: Masculin

-Sexualité: Le sexe n’a pas de sexe précis.

-Groupe: Famille Houseki

-Sous-Groupe: Assassin


-Métier(Voir les métiers)( Pour Civils Seulement ):

-Autre(facultatif): Un danseur hors norme. Il danse sous le nom de Kamen.


Santé


-Groupe sanguin: O-

-Taille: 1m60

-Poids: 43kg

-Allergie: Au pollen… ça devient sérieusement chiant le printemps. L’a l’air pas mal sérieux comme assassin pendant ses allergies.

-Problème de santé(physique et/ou psychologique): La mort de ses parents ont fait beaucoup de cicatrice impossible à refermer… ou presque.


Description


-Description physique: Il ne parait pas vraiment vieux pour son âge. Va savoir s’il est possible de considérer cet aspect comme une qualité ou un défaut. Qui pourrait croire qu’un jeune pourrait être dangereux… sinon il y a les vieux pervers qui voudrait en profiter. C’est bien connu, s’il y a un coté rose, il y aura aussi un coté noir. Une sombre chevelure, mi-long, qui est caractéristique à sa famille. Ou plutôt, à son père. On dit qu’il est son portrait craché. Par contre, ses yeux sont ceux de sa mère. Une mer bleutée qui devrait porter une brillance sans fin. Devrait. La vie en a décider autrement, l’étincelle n’est plus celle d’autrefois. Le plus souvent, Haru porte des vêtements sombres, une sorte de deuil constante? Une façon de bien se camoufler dans les nuits noires? Gothique en devenir? Ces années dans les rues ne lui ont pas donné le choix. Devenir fort et bâtit ou mourir. Les années ont sculpté son corps de façon adéquate. Il peu passer inaperçu tout en cachant une grande force. Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences. Qui serait assez bête pour le faire? Surtout qu’Haruka ne n’hésite pas à se servir de son corps s’il le faut… les ennemis sont parfois bêtes. On ne le dira jamais assez, l’homme est la chose, dans ce monde, la plus vulnérable lorsqu’il jouit.

-Description psychologique: Voilà qui est plus dur à d’écrire lorsque le personnage lui-même ne sait pas ce qu’il est. On pourrait croire qu’il est sans cœur. Heureusement, cela est fort impossible, car sans cœur aucun humain ne survit. Donc, bonne nouvelle, Haruka possède un cœur. Il a seulement eu la volonté de le sceller afin de ne plus souffrir. Va savoir si ce geste lui apportera plus de mal que de bien. Ce scellement ne l’empêchera pas d’avoir des conversations et de rire. Bien au contraire. Il reste un être humain, même avec toute la force de ce monde, il lui serait impossible de détruire tout sentiment. C’est seulement le fait qu’il fait gaffe à ne pas s’attacher à personne. Sinon outre ces caractéristiques, Haruka reste avec le poids du deuil. La, peine et la souffrance sans fin étouffe son cœur et l’empêche de pouvoir un jour espérer être heureux de nouveau. Il garde cette envie incessante de retourner à l’enfance pour y bloquer le temps. Vous savez, ce moment dans la vie qui vous rend si heureux, trop, où le souhait de cette nuit qui dur à jamais est formulé. Les gens semblent ne pas se rendre compte qu’il n’y a rien de mieux qu’être un enfant. À cet âge, les pièges de la vie sont superficiels. Tout ce qui importe c’est de trouver l’ami. Beaucoup de regret sur son passé. Souhaiter à ce point oublier... ça forme le caractère.

-Histoire:
Et oui! Il a été le plus fort, le plus rapide et le plus beau spermatozoïde! Il est arrivé en première place dans cette boule chaude qui allait crée l’enfant unique des Naoe. Papa Naoe était le bras droit de Zack Ogawa, vous savez le parrain des Namori. Ils faisaient une belle paire. Sa naissance fut très attendu, inutile de cacher que papa voulait un fils qui puisse le rendre fier. Un fils qui puisse prendre sa suite auprès du prochain parrain. Par une belle journée de printemps, suite à 36 heurs de travail ardu pour maman, Haruka Naoe vie le jour. L’atmosphère était douce, papa et maman était fier de ce beau garçon, même parrain Namori est venu présenter ses félicitations en emportant ton jeune fils de trois ans, Hayaki.
Les deux jeunes, tout comme leur père respectif, se côtoyait souvent. Si ce n’est pas tout le temps. C’est ce qui a permis de lié ces deux jeunes de façon serrer. Dès qu’Haruka a su marcher, il s’est mis à suivre son frère dès qu’il le voyait dans les parages. Hayaki a d’ailleurs été son premier mot… injuste hein? On va dire que les parents étaient contents que leur fiston se démarque. Au lieu de dire l’habituel Moman, popa, il dit Hayaki, certe quelque peu déformé, mais on pouvait y reconnaître le nom. Les enfants cherchent toujours leur moitié et lorsqu’elle est trouvée, ils n’en décollent plus. Ce n’est pas comme si ça posait problème. Dans la tête des pères, ça signifiait qu’ils allaient être une bonne équipe plus tard.
Haruka à commencer à prendre l’habitude de passer ses fins de semaines chez son ami. Chez lui c’était tellement ennuyeux. Enfant unique, des parents occupé et pas d’enfant avec qui jouer dans les alentours. De toute façon, son père ne l’aurait pas laissé jouer avec n’importe qui et Haru ne s’intéressait qu’à son Hayaki. Un jour, alors qu’il regardait la télévision, une idée de génie. En faite, c’est plutôt l’émission qui lui a souffl… ok il a copié. Le petit demanda des bagues à son papa chéri. Qui peu dire non à des yeux larmoyant et à sa bouille d’ange? Certainement pas son papa puisqu’il peut toujours tout avoir avec lui. Les bagues en main, l’enfant haut comme trois pommes se précipita dans la chambre d’Hayaki.
- Éponge moi… euh… épouffe… épus… … moi!
Faut pas en demander trop. Un cerveau de son âge ne peut tout de même pas tout retenir. On comprend l’essentiel? Il voulait officialiser leur lien dans sa petite tête? Haruka ne laissa pas vraiment le choix à son ami. Ils devaient garder leur bague! C’est tellement simple quand on est enfant. La vie est rose, il y a de la place seulement pour les jeux. Il ne manquait pas une occasion de dormir avec lui… d’être collant quoi! Si Hayaki ne voulait pas, il n’avait qu’à prendre la spatule pour les décoller. Ou bien lui faire comprendre qu’Haru lui prenait trop d’air. Et ils vécurent heureux jusqu’à la fin de temps.
Ça ne marche pas? Pourquoi? Il faut un rebondissement? De la douleur? Bande de sadique. Tout était ce qu’il y a de plus normal dans leur vie. En tout cas… normal pour eux. Faut s’entendre que des parents, la mafia et les meurtres ne sont pas trop un univers normal pour un enfant. Le cauchemar s’est abattu sur eux si soudainement. La vie leur montrait qu’il était bien facile de perdre des êtres chers. Papa et maman furent assassiner, pourquoi? C’était tout. Du haut de ses sept ans, Haruka avait cette question muette. Est-ce que ses parents ont été vilains? C’était un accident? Non… ils ont bien dit que c’était un meurtre. Lorsqu’on lui demanda où il voulait coucher la réponse fut claire : Chez moi. Est-ce possible? Haru qui préfère dormir chez lui plutôt qu’avec son ami.
Après cet évènement, plus rien n’a été pareille. Les deux enfants, pourtant si près l’un de l’autre, changèrent drastiquement. Cette aura noire qui les entouraient et leur promettait un avenir tout aussi sombre, l’un sans l’autre. Hayaki et Haruka furent pris en charge par l’oncle de ce premier. Un geste généreux de sa part. Ils n’étaient pas seuls… Hayaki avait toujours de la famille, mais ce n’étais pas le cas pour Haruka. Ses parents étaient tous deux enfants uniques. On ne l’aura jamais vue loin de son meilleur ami. Il était tout simplement incapable de digérer cette mort et il était trop jeune pour savoir qui était le meurtrier. Encore moins pour comprendre ce que papa et maman faisait comme travail. Tout ce qui englobait leur famille et cette ville. Dans sa tête, papa et maman sont seulement mort, ils ne sont plus là. Hayaki a encore, en quelque sorte, sa famille. Il est encore entourer. C’était sa douce descente vers l’enfer. Une partie de lui était déchiré. Il souhaitait plus que tout se réfugier contre sa moitié, aller puiser, rechercher un courage quelconque pour passer au travers. Son cœur lui suppliait de cesser cet éloignement, qu’ils devaient rester ensemble à tout prix, pour le meilleur et le pire.
Ainsi, Haruka prit la fuite sans avertir personne, sans un au revoir pour son Hayaki.
Est-ce un nouveau meurtre? Tant qu’à tuer les parents, prenons l’enfant aussi. Les mauvaises langues peuvent parler tout autant. Pour eux c’est une fugue, qu’un signe de trahison… d’égoïsme pure. Ce cher oncle qui a eu le cœur de le recueillir alors qu’il n’avait aucune responsabilité envers cet orphelin. C’est vrai, qui voudrait d’un gamin de plus sur les bras? Peut-être que cet homme a tout simplement eu trop pitié… ou assez de cœur pour ne pas séparer les deux amis. Pensant qu’ensemble ils pourraient surmonter cette peine. Malheureusement, il n’y a rien de plus désastreux que perdre sa famille. Se retrouver seul sans l’être. C’est le sentiment d’être seul qui est le plus dangereux, car il est dur de s’en débarrasser. C’est incruster dans la tête même s’il y a une centaine de personne en face de nous. Ces gens… ils ne peuvent pas comprendre ce que l’être en peine ressent.
Qu’est-ce qu’il s’est passé pour que ces deux meilleurs amis s’éloignent l’un de l’autre aussi brusquement? Normalement ils auraient du se lié, s’entraider dans cette passe de vie éprouvante. Ils ont vécu la même chose au même moment. Le destin a toujours une raison d’agir. C’étais peut-être parce que ce n’étais pas le temps pour eux de faire le deuil. Ou ils devaient se séparer pour devenir plus fort. Devenir les hommes qu’ils sont aujourd’hui. Même si Haruka à pris lui-même la décision de partir, la douleur à été atroce. Couper les liens avec son meilleur ami, la seule personne qui lui restait vraiment. Ça aurait tellement été plus simple de l’emporter avec lui… mais Hayaki est un lien vers le passé. C’est ce qu’Haru voulait éliminer. Comme une nouvelle naissance.
Une nouvelle vie, une nouvelle identité, un nouveau lui. Haruka, mort avec ses parents. Laisser loin, sceller avec son cœur. Kyo, un petit garçon seul dans la nature qui s’en sort par tous les moyens. Il est tout à fait au courant qu’il doit devenir fort pour pouvoir survivre. Haruka n’aurait pas su vivre dans les rues, mais Kyo, si. Bien sûr, ce n’est pas les embuches qui ont manqué. Kyo a su y faire face et prendre chaque expérience comme une dette qu’il devait payer. Rien n’est gratuit dans la vie. Quand on se fait violer, on apprend à donner les bons coups aux bons endroits. Sinon… on apprend où ne pas mettre les pieds et qui ne pas fréquenter. On vient aussi à savoir comment voler. Kyo est trop fier pour se montrer faible et aller quémander de l’argent. Il développe plutôt une manière de voler. Plus de challenge? De toute façon, la race humaine a trop d’égoïsme pour partager leur argent.
C’est en forgeant le fer qu’on devient forgeront? Avec les années, Kyo a pris complètement la place d’Haruka. C’était un sacrifice à faire. L’enfermer au plus profond de son être, lui et ses souvenirs. Le meurtre… trop drastique et puis c’est comme se tuer soi-même… on ne va pas binbin loin. Quoi que ça aurait été tout simple. Pas besoin de vivre ces années d’enfer pour faire sa place dans se monde. Une autre preuve que le destin lui réserve quelque chose. M’enfin, cette nouvelle personnalité se débrouille assez bien. Assez pour être recruter comme Assassin dans la famille Houseki. Comment? En prouvant, sans le vouloir, qu’il valait beaucoup plus qu’un autre. Comment? Pendant une sombre nuit où Kyo avait besoin de fric comme par hasard. Malheureusement, sa victime n’était pas l’idiot nobody qu’il pensait. Si ces années dans les rues ne l’avait pas formé, il aurait facilement perdu contre son adversaire. Dire que battre cette personne était un jeu d’enfant était un mensonge. L’en a arracher. Ce combat n’est pas passé inaperçu aux yeux du parrain Houseki. De la chaire fraiche dans sa famille ne ferait pas de tord. Suffisait juste de polir ses atouts, lui enseigner l’art des mafieux et de lui laisser prendre de l’expérience.
Kyo ne s’imaginait pas du tout atterrir au sein d’une clique. Il se voyait vivre pour lui-même et ce pour toujours. Ne pas rendre de compte à personne, ne pas devoir penser aux autres. Surtout… éviter les liens possibles. On ne sait jamais, Haruka pourrait essayer de revenir. Malgré tout ça, il lui fut impossible de refuser. C’était là qu’il devait être à ce moment de sa vie. Un pas à franchir, une force de plus et des missions. Tuer des personnes qui n’ont aucune importante ou existence. Ouais… c’est cool. Ajouter à cela le loger nourris. Les amants qu’il veut… suffis de les réchauffer. Les soirées occupées dans le bar à jouer avec l’alcool ou à faire aller ses hanches sur la scène. Qui soupçonnerait un beau cul d’être un redoutable assassin du clan Houseki?

Hormis tout ça…
Le mal ronge les personnes jusqu’à la fin, peu importe ce qui advienne d’elles.


Hors-jeu


-Le nom et le manga, jeux ou autre de votre avatar: Ehhh…?

-Comment avez vous découvert le forum?: <3

-Quel âge avez vous?: 18 ans!

-Une idée pour améliorer le forum?: m’aimer?

-Autre: Hayakkkiiiii